A la sortie du train

Léopold etait dans un train somme toute confortable, plusieurs cabines insonorisé. Léo etait rentré dans un compartiment bondée de Galhourse, comme lui. Ses parents n'avaient pas etaient très d'accord avec ce choix, il etait le premier Mayls à ne pas etre à Denfelis. Léo s'assit donc parmit ce de sa maison et il se fit bien aceuillir. Il isa sa valise sur le filet du compartiment, il libèra Newlek de sa cage, le chat blanc preferant l'exterieur plutot que les espaces fermaient comme sa cage. Le chat commença donc à regarder un peu tout le monde et à passer entre es jambes, pendant ce temps la plupart des élèves changait la couleur de son pelage sans que ça ne le drange visiblement. Le train commença à ralentir, il faisait un peu de vent, donc Léo mit un blouson sur son uniforme pas très reglementaire. Il sortit du compartiment valise en main, et Newlek se posa sur ses épaules mais il choisit vite de rentrer dans sa cage le vent ne lui plaisant pas vraiment. Tous les autres avaient disparut sans doute vers l'Académie que Léo voyait au loin. Il regarda mieux, un chateau magnifique, grand, dans un espace preservé de toute trace de l'homme, aucune maison à l'horizon.

Léopold: J'adore déjà cet edroit.

Le train etait déjà repartit, quelques élèves etaient encore dans la gare. Mais ils partirent vite, laissant Léo seul, seul? Pas si sur il entendait des pas s'approchant de lui.

Une jeune femme arriva alors sur le quai de la gare Ehnoir, marchant calmement sur ses grands talons qui frappaient le sol de manière régulière...Elle jetait quelquefois un coup d'oeil autour d'elle, puis finit par rapidement arriver à la hauteur du jeune garçon que les autres élèves avaient laissé seul sur le quai balayé par le vent du mois.

Haussant les sourcils et adressant un ravissant sourire au jeune homme, la jeune femme, qui en fait se révélait être la directrice même de l'Académie, lui dit alors

"Léopold Mayls, n'est-ce pas ?"

Elle sourit à nouveau, disant

"J'ai été informée de ton arrivée"

Puis, elle ajouta également, sur le ton de la conversation, se préoccupant de ses élèves, certainement pour se montrer agréable et ouverte, comme ce qu'elle était.

"Sois la bienvenue ! Ton voyage s'est bien passé ?"

Léo se retourna vers la provenance du son, des talons. Il regarda la personne s'approchait, il leva les yeux. Le vent balaya les cheveux du garçon. Son chat ronronnait paresseusement dans sa cage à l'abri du vent grâce à un sortilège. Léopold devina que cette personne était la directrice de l'établissement dans lequel il allait vivre pendant plusieurs année.

Léopold: En effet, je suis Léopold Mayls.

Il arqua un sourcil.

Léopold: Mlle la directrice je suppose?

Il croisa ensuite les bras.

Léopold: Pourquoi venir me voir spécialement à moi, il y a beaucoup d'élève.

Il balaya la place du regard certes il n'y avait plus personne, mais il y n avait eu il y a quelques minutes. La directrice engagea la conversation d'un ton moins administratif. Léopold sortit sa baguette, du mouvement ample et rapide elle se souleva dans les airs. Il hissa ensuite la cage de son chat dessus et s'assura qu'elle était fixé.

Léopold: Le voyage à était excellent mais je ne m'attendais pas à un vent pareil en arrivant, on peut commencer à aller vers le château.

[Merci pour l'avatar]

(Euuuh...je n'ai pas très bien compris ce qu'il faisait vers la fin, mais on va dire qu'il s'agissait de sa valise qui s'élevait dans les airs ^^')

La grande femme regarda un instant son élève, lorsque celui-ci lui retourna ses paroles sans bien même lui souhaiter le bonjour. La jeune directrice, irritée, mis cela dans un coin de sa tête...hum

Puis le jeune homme, dans toute sa pseudo-arrogance, supposa qu'elle était la directrice. Elle haussa les sourcils, et, tout sourire, répondit simplement

"En effet"

Puis, suivant la nouvelle phrase du jeune garçon, elle ajouta

"Eh bien eh bien...Disons que je n'ai pas été amenée à aller vers eux...Si je suis venue à toi, c'est qu'il y avait une raison"

Décidée à ne pas en dire plus, elle se contenta d'offrir un sourire au jeune garçon qui lui répondait alors à la suite de sa politesse. Hmm...Il avait fait bon voyage et ne se doutait pas du vent à son arrivée...fort bien...
Dans tous les cas, il avait commencé à essayer d'user de la magie pour soulever dans les airs sa valise et la cage de son chat...Ahah...il promettait...

Lorsqu'il dit qu'ils pouvaient commencer à aller vers le château, la grande femme commença à avancer, disant

"Bien...suis moi..."

Elle alla vers une sorte de calèche, tirée par deux tigres blancs aux ailes noires de démon. Isabelle se tourna vers le jeune homme et lui dit, simplement

"Entre donc...Ce véhicule nous mènera à l'academie en un rien de temps."

[C'est exactement ça. Very Happy

]

Isabelle répondit a sa question vaguement, se terminant avec un magnifique sourire, elle montra ensuite la calèche les attendant, tirées par deux tigres blanc avec des ailes noires, Léo était sur dans avoir déjà vu, dans un livre ou dans un zoo peut-être. Il s'avança ver la calèche, la directrice devant lui. Le jeune homme ressortit sa baguette, d'un mouvement plus long il déposa ses bagages dans la malle prévus à cet effet. Dans la cage on entendait un petit feulement, Newlek avait dut être réveiller, Léo prit la cage par la poignet et la serra dans sa main. Léopold regarda encore une fois ça baguette, elle lui avait était remit il y a peut, noyer et ventricule de dragon, 21 centimètre et demi, il la remit dans sa poche. Léo s'approcha de la calèche et ouvrit la porte, s'inclinant légèrement, pour montrer à la directrice de monter. Même s'il pouvait se montrait parfois arrogant avec ces futurs professeurs, qui d'ailleurs ne tarderaient pas à détester ses manières en classes, il avait était élever par la noblesse et devait donc être un minimum gentleman, même s'il ne le voulait pas c'était devenu comme un tic. Léopold leva un peu le visage, il regarda une fois de plus vers le château, pourquoi avait-t-il était tant content de quitter sa famille? Il ne le savait même pas.

Léopold: *Vivement que nous soyons à l'intérieur, le vent ce fait de plus en plus violent, j'espère que la calèche nous protégera un peu.*

Léopold regarda encore les tigres blancs, une fois dans la cabine il demanderait à la directrice, quels étaient ces créatures, quand sa curiosité était éveillé il devait trouver un moyen de la contenir et la seule solution était de la satisfaire.

(Navrée du retard, vraiment, mais je ne passais plus trop sur le forum, faute de temps. Mais je suis de retour ! Pardonne-moi l'attente =3)

La jeune femme fut alors surprise de voir que le jeune garçon la laissait passer la première pour monter dans la calèche. C'était bien la première fois, dans toute sa carrière, qu'un élève lui cédait le passage ! Ce geste, de la part de Léopold, décrocha un sourire à la directrice. Etonnant !

"Merci bien !"

Elle entra alors à l'interieur du véhicule, suivie de son élève. Puis, dès qu'il fut entré à sa suite, elle fit refermer les portes. Elle s'assit confortablement sur un des canapés qui constituaient les sièges, en face de celui qu'allait occuper le jeune garçon.

Un soupir de contentement s'échappa de ses lèvres.
De nouveaux élèves !
Qu'est-ce que cela était bien !

Peut-être que les cours seraient agréables. Turbulents ? Mouvementés ? Interessants ? Cela déprendrait de tous les habitants de l'académie...Au fond d'elle, Isabelle priait pour que tout se passe bien.

La calèche démarrait alors. La jeune femme laissa son regard emeraude se poser sur le jeune garçon, tandis qu'elle souriait toujours, comme à son habitude.

(Navrée. Pas bien long =__=)

Léonard monta à la suite de la directrice dans le véhicule, il s'assit face à elle soutenant un peu son regard, puis il laissa ses yeux vagabondé vers les colines avoisinantes. Quel decor, il perçut au loin une créature volante, puis il distingua une cape.

Léonard: *Un sorcier, sur un balais? J'aimerai bien en avoir un.*

Léonard se souvint alors de la question qu'il souhaitait posé à la directrice.

Léonard: Qu'est-ce que ces comme race les tigres à l'exterieur?

Un coup de vent s'engoufra par la fenetre et lui glaça l'échine. Il mit ses mains dans ses poches pas vraiment rasuré, ce vent etait etrange, lourd, donnant l'impression de pouvoir etre touché. Le sorcier était un peu redscendut vers eux, le vent l'avait-t-il désorienté? Certainement pas, Léonard le vit pointé sa baguette vers la calèche. Instinctivement Léonard s'assit sa baguette et se leva. Il fit une forme fleur dans les airs puis avança brusquement la pointe de sa baguette vers l'exterieur.

Léonard: Floreus Maximus.

Un puissant jet violet s'echappa du bout de bois et frappa le balais de l'homme. Celui-ci commença à fleurir puis des barnche entourèrent le sorcier, il descendit en flèche vers le sol et disparut dérrière une des nombreuses collines.

Léonard: On est attaqué, que nous voulait cet homme? On devrait accelerer, je commence à penser que le vent n'etait pas tout à fait naturel.

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